Arrivé en Belgique en 1984, il prend un nouveau départ. Il fallut plusieurs années de travail, sous la pression trop forte de sentiments mêlés, confus et complexes, la traversée d’une crise existentielle, amalgame de questionnements et méditations, de doutes, déceptions et illuminations.

Pour plonger dans le registre non-vu du réel, l’artiste ne trouve pas nécessaire que sa peinture renonce à la figuration. L’invisible existe dans un rapport nécessaire de co-présence avec le monde visible. Comme Janus, le monde a deux visages qui sont indissociables car ils sont deux faces indispensables d’une seule et même entité.